Mes chers compatriotes, connaissez-vous
l’angoisse ?
La honte, les remords, les
sanglots, les ennuis,
Et les vagues terreurs de ces
affreuses nuits,
Imposant aux Français sevrés
de vérité,
Des discours convenus, des
abîmes de silence :
Masques et décors factices,
dénis d’autorité.
J’ai pris pour gouverner des
copains de naguère,
Hélas, mille fois hélas, il
n’y a rien qui marche :
Je dois changer de cap, modifier ma démarche.
Acte 1, scène 1
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